La mort au cou

Grand reporter, Arsène Loupia prend des vacances bien méritées dans sa ville natale, Marseille. Il s’apprête à se reposer et à oublier son rythme de vie trépidant, quand un article dans le journal, annonçant une vente aux enchères en décide autrement : la veuve de l’archéologue Panayotis vend les objets découverts en Turquie, par son mari, lors des fouilles qui ont conduit à son assassinat.

Poussé par la curiosité, Arsène décide de se rendre à cette vente aux enchères. Sa présence dans ce lieu déclenche toute une série d’événements. Ayant récupéré un carton de vieux journaux appartenant à l’archéologue, Arsène est menacé par des appels anonymes.

C’est le départ d’une grande aventure qui va le conduire de Marseille à Paris, puis à Istanbul.

L’enjeu est le trésor des Rois Mages, découvert par Panayotis : trois coffrets d’or fin remplis d’or, d’encens et de myrrhe et surtout, un collier précieux, serti de saphirs. D’après la légende, celui-ci aurait été offert à Marie, la mère du Christ, par Melchior le Roi Mage. Les pouvoirs du collier semblent magiques et terrifiants.

Le caractère vif d’Arsène, sans cesse en quête de vérité, son indépendance d’esprit vont l’entraîner, et le lecteur à sa suite, dans une aventure mêlant mystère, exotisme et amour, dans laquelle interviennent aussi des enjeux historiques et politiques.

C’est à Marseille qu’est née Reine Cioulachtjian, petite-fille d’émigrés arméniens à la recherche d’un havre d’espérance. La ville leur a ouvert les bras, fidèle en cela à sa réputation de générosité.

Terre d’accueil pour tant d’hommes fuyant la barbarie de tous les ailleurs, Marseille s’est métissée au fil du temps d’Africains, d’Espagnols, d’Arméniens, d’Italiens, de Juifs, d’Arabes. Tous ont partagé avec elle un peu de leur culture et se sont imprégnés de la sienne.

Reine Cioulachtjian est tombée amoureuse de cette ville : pour les avoir parcourues, inlassablement, elle en connaît toutes les collines, parfumées de lavande et de romarin, toutes les calanques inondées de lumière entre ciel et mer, toutes les îles chargées d’Histoire.

Dans ses ouvrages précédents, Reine Cioulachtjian a relaté les mythes, les légendes, les contes nés sous des horizons lointains. Dans « La Mort au Cou », le premier volume d’un polar franco-arménien, elle nous entraîne de Marseille à Istanbul, dans une aventure haletante, avec son talent inimitable de narrateur.

  • Editeur : Editions Sigest
  • Auteur : Reine Cioulachtjian
  • Date de parution : 2007
  • Format : 14,8 x 21,0 cm
  • Nombre de pages : 176

Disponible sur commande

13,00 

Grand reporter, Arsène Loupia prend des vacances bien méritées dans sa ville natale, Marseille. Il s’apprête à se reposer et à oublier son rythme de vie trépidant, quand un article dans le journal, annonçant une vente aux enchères en décide autrement : la veuve de l’archéologue Panayotis vend les objets découverts en Turquie, par son mari, lors des fouilles qui ont conduit à son assassinat.

Poussé par la curiosité, Arsène décide de se rendre à cette vente aux enchères. Sa présence dans ce lieu déclenche toute une série d’événements. Ayant récupéré un carton de vieux journaux appartenant à l’archéologue, Arsène est menacé par des appels anonymes.

C’est le départ d’une grande aventure qui va le conduire de Marseille à Paris, puis à Istanbul.

L’enjeu est le trésor des Rois Mages, découvert par Panayotis : trois coffrets d’or fin remplis d’or, d’encens et de myrrhe et surtout, un collier précieux, serti de saphirs. D’après la légende, celui-ci aurait été offert à Marie, la mère du Christ, par Melchior le Roi Mage. Les pouvoirs du collier semblent magiques et terrifiants.

Le caractère vif d’Arsène, sans cesse en quête de vérité, son indépendance d’esprit vont l’entraîner, et le lecteur à sa suite, dans une aventure mêlant mystère, exotisme et amour, dans laquelle interviennent aussi des enjeux historiques et politiques.

C’est à Marseille qu’est née Reine Cioulachtjian, petite-fille d’émigrés arméniens à la recherche d’un havre d’espérance. La ville leur a ouvert les bras, fidèle en cela à sa réputation de générosité.

Terre d’accueil pour tant d’hommes fuyant la barbarie de tous les ailleurs, Marseille s’est métissée au fil du temps d’Africains, d’Espagnols, d’Arméniens, d’Italiens, de Juifs, d’Arabes. Tous ont partagé avec elle un peu de leur culture et se sont imprégnés de la sienne.

Reine Cioulachtjian est tombée amoureuse de cette ville : pour les avoir parcourues, inlassablement, elle en connaît toutes les collines, parfumées de lavande et de romarin, toutes les calanques inondées de lumière entre ciel et mer, toutes les îles chargées d’Histoire.

Dans ses ouvrages précédents, Reine Cioulachtjian a relaté les mythes, les légendes, les contes nés sous des horizons lointains. Dans « La Mort au Cou », le premier volume d’un polar franco-arménien, elle nous entraîne de Marseille à Istanbul, dans une aventure haletante, avec son talent inimitable de narrateur.

  • Editeur : Editions Sigest
  • Auteur : Reine Cioulachtjian
  • Date de parution : 2007
  • Format : 14,8 x 21,0 cm
  • Nombre de pages : 176