Le candidat

Traduit de l’arménien et présenté par Marc Nichanian

Le Candidat est l’un des romans les plus marquants de la littérature arménienne en diaspora. Le roman de la tentative de survivre à un désastre, qui constitue l’arrière-fond de toute la somme romanesque de Vorpouni.
Le roman, comme un retour à l’origine et à la recherche des effets pervers de l’expérience de la Catastrophe, explore les thèmes du traumatisme, du pardon, de la réconciliation, de l’amitié et du sacrifice, et se plonge dans la relation entre la victime et l’auteur.
Tout débute en 1927 à Paris après que Minas, qui travaille dans un hôtel, a trouvé le corps de son ami Vahakn sur le sol de l’appartement qu’ils partagent. Minas raconte sa rencontre avec Vahakn dans les cafés du Quartier latin, les amis, leurs conversations avec Ziya, un étudiant turc à Paris. Puis le meurtre de Ziya par Vahakn qui se suicide. Parmi les lettres que s’échangent les personnages, au cœur du roman se trouve la lettre que Vahakn laisse à Minas pour expliquer l’énigme du meurtre de Ziya et de son propre suicide. La lettre raconte la déportation de Vahakn et de sa mère depuis leur village dans l’Empire ottoman ; la mort de sa mère et l’adoption de Vahakn par une femme turque, qui le viole et le maltraite ; ses sentiments d’aliénation et d’aliénation de soi en France ; et son incapacité à s’adapter à la vie après le traumatisme.
Connu pour son écriture innovante, Vorpouni remet en question les éléments narratifs du roman conventionnel en jouant avec la subjectivité et la linéarité. L’influence des courants littéraires et intellectuels français contemporains produit une création unique dans la littérature arménienne occidentale.
« Nous, les rescapés, nous devions essayer de vivre. »

 

  • Editeur : Editions Parenthèses
  • Collection : Diasporales
  • Auteur : Téotig
  • Date de parution : juin 2021
  • Format : 16,5 x 23 cm
  • Nombre de pages : 216

Disponible sur commande

19,00 

Traduit de l’arménien et présenté par Marc Nichanian

Le Candidat est l’un des romans les plus marquants de la littérature arménienne en diaspora. Le roman de la tentative de survivre à un désastre, qui constitue l’arrière-fond de toute la somme romanesque de Vorpouni.
Le roman, comme un retour à l’origine et à la recherche des effets pervers de l’expérience de la Catastrophe, explore les thèmes du traumatisme, du pardon, de la réconciliation, de l’amitié et du sacrifice, et se plonge dans la relation entre la victime et l’auteur.
Tout débute en 1927 à Paris après que Minas, qui travaille dans un hôtel, a trouvé le corps de son ami Vahakn sur le sol de l’appartement qu’ils partagent. Minas raconte sa rencontre avec Vahakn dans les cafés du Quartier latin, les amis, leurs conversations avec Ziya, un étudiant turc à Paris. Puis le meurtre de Ziya par Vahakn qui se suicide. Parmi les lettres que s’échangent les personnages, au cœur du roman se trouve la lettre que Vahakn laisse à Minas pour expliquer l’énigme du meurtre de Ziya et de son propre suicide. La lettre raconte la déportation de Vahakn et de sa mère depuis leur village dans l’Empire ottoman ; la mort de sa mère et l’adoption de Vahakn par une femme turque, qui le viole et le maltraite ; ses sentiments d’aliénation et d’aliénation de soi en France ; et son incapacité à s’adapter à la vie après le traumatisme.
Connu pour son écriture innovante, Vorpouni remet en question les éléments narratifs du roman conventionnel en jouant avec la subjectivité et la linéarité. L’influence des courants littéraires et intellectuels français contemporains produit une création unique dans la littérature arménienne occidentale.
« Nous, les rescapés, nous devions essayer de vivre. »

 

  • Editeur : Editions Parenthèses
  • Collection : Diasporales
  • Auteur : Téotig
  • Date de parution : juin 2021
  • Format : 16,5 x 23 cm
  • Nombre de pages : 216