L’aventure kémaliste – Angora et Berlin

Rares  sont les témoignages à chaud portés par des Turcs, et de ce fait infiniment précieux, sur le fléau que constituèrent pour l’Empire ottoman et ses populations les Jeunes-Turcs “laïcs et réformateurs” entre 1908 et 1918 et, à partir de 1919, le mouvement kémaliste incontestablement issu des premiers.

Dans “L’aventure kémaliste”, Omer Kiazim s’est attelé dés 1921 à démontrer avec courage et lucidité, sinon la rage du désespoir, que le mouvement kémaliste n’était rien d’autre que la continuation désastreuse du régime jeune-turc responsable de l’entrée en guerre de l’Empire ottoman aux côtés de l’Allemagne wilhelminienne et de l’extermination du peuple arménien.  Et dans “Angora et Berlin”, il met en garde l’opi-nion publique des pays de l’Entente contre le danger que risque de devenir pour l’Orient, l’Europe et la Paix ce mou-vement xénophobe soutenu par les vaincus d’hier, les Allemands qui veulent déjà prendre leur revanche sur les Alliés en Asie Mineure, et par les bolcheviks, qui visent au bouleversement mondial.

Dans ces deux ouvrages extrêmement bien documentés, Omer Kiazim révèle les liens qui unissent les criminels Jeunes-Turcs devenus kémalistes à leurs protecteurs allemands et bolcheviks et les complicités dont ils bénéficiaient, au détriment de l’Entente, notamment en France : le silence ou l’ignorance d’une certaine presse, la kémalomanie de certains milieux diplomatiques et militaires travaillant contre leur propre camp.

A l’heure où adeptes et propagandistes déclarés de la Turquie kémaliste pratiquent la désinformation la plus outrancière, comme leurs prédécesseurs des années 1920 à la faveur de l’indifférence et de l’ignorance de l’opinion publique, ces deux témoignages d’un Turc patriote rappellent combien il est immoral de traiter avec un Etat qui assume ouver-tement “ces forfaits qui sont de nature à faire pour toujours tressaillir d’horreur la conscience humaine“, selon les propres mots du vizir Damad Ferid-pacha s’exprimant devant le Conseil suprême des Alliés à Paris en juin 1919.

 

  • Editeur : Le Cercle d’Ecrits Caucasiens
  • Auteur : Omer Kiazim
  • Date de parution : février 2008
  • Format : 14,5 x 20,5 cm
  • Nombre de pages : 286

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Rares  sont les témoignages à chaud portés par des Turcs, et de ce fait infiniment précieux, sur le fléau que constituèrent pour l’Empire ottoman et ses populations les Jeunes-Turcs “laïcs et réformateurs” entre 1908 et 1918 et, à partir de 1919, le mouvement kémaliste incontestablement issu des premiers.

Dans “L’aventure kémaliste”, Omer Kiazim s’est attelé dés 1921 à démontrer avec courage et lucidité, sinon la rage du désespoir, que le mouvement kémaliste n’était rien d’autre que la continuation désastreuse du régime jeune-turc responsable de l’entrée en guerre de l’Empire ottoman aux côtés de l’Allemagne wilhelminienne et de l’extermination du peuple arménien.  Et dans “Angora et Berlin”, il met en garde l’opi-nion publique des pays de l’Entente contre le danger que risque de devenir pour l’Orient, l’Europe et la Paix ce mou-vement xénophobe soutenu par les vaincus d’hier, les Allemands qui veulent déjà prendre leur revanche sur les Alliés en Asie Mineure, et par les bolcheviks, qui visent au bouleversement mondial.

Dans ces deux ouvrages extrêmement bien documentés, Omer Kiazim révèle les liens qui unissent les criminels Jeunes-Turcs devenus kémalistes à leurs protecteurs allemands et bolcheviks et les complicités dont ils bénéficiaient, au détriment de l’Entente, notamment en France : le silence ou l’ignorance d’une certaine presse, la kémalomanie de certains milieux diplomatiques et militaires travaillant contre leur propre camp.

A l’heure où adeptes et propagandistes déclarés de la Turquie kémaliste pratiquent la désinformation la plus outrancière, comme leurs prédécesseurs des années 1920 à la faveur de l’indifférence et de l’ignorance de l’opinion publique, ces deux témoignages d’un Turc patriote rappellent combien il est immoral de traiter avec un Etat qui assume ouver-tement “ces forfaits qui sont de nature à faire pour toujours tressaillir d’horreur la conscience humaine“, selon les propres mots du vizir Damad Ferid-pacha s’exprimant devant le Conseil suprême des Alliés à Paris en juin 1919.

 

  • Editeur : Le Cercle d’Ecrits Caucasiens
  • Auteur : Omer Kiazim
  • Date de parution : février 2008
  • Format : 14,5 x 20,5 cm
  • Nombre de pages : 286